J'ai lu Crédit illimité de Nicolas Rey (Editions Au diable Vauvert)

Le résumé de la quatrième de couverture :

Diego Lambert n’a plus le choix. Il doit licencier quinze salariés de l’usine de son père s’il ne veut pas finir sur la paille. Mais rien ne va se dérouler comme prévu, jusqu’à l’irréparable.

Ce roman se lit rapidement, il est rythmé, et il se passe de nombreux événements entre la première et la dernière page. Diego Lambert n'a plus d'argent, et s'il veut que son cher père lui offre un gros chèque, il doit accepter la mission qui lui est confiée : aller travailler dans l'entreprise familiale, et licencier quinze personnes. Simple à faire pour lui en apparence. Mais il va chercher à changer les plans, et réussit à prouver que ces licenciements peuvent être évités en faisant les choses différemment... Ce qui n'est cependant pas dans les plans du père, manipulateur professionnel.

Car notre dandy se prend de sympathie pour bon nombre des salariés licenciés, et a de la suite dans les idées en trouvant des chemins secondaires pour sauver la situtation. Histoires familiales, restructuration d'entreprise, et il est également question d'amour dans cette intrigue, avec les liens particuliers qui unissent Diego à sa thérapeuthe. Un roman bref et intense, où chacun pose ses cartes et fixe ses règles selon ses envies... pour le meilleur et pour le pire. A découvrir !

224 pages / 18 euros

Merci aux Editions Au Diable Vauvert pour l'envoi de ce roman !